Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

jeudi 16 mai 2024
sys bannière
Politique

Politique (312)

43e anniversaire de la Marche Verte / Redynamisation du Maghreb arabe La recette du Roi Mohammed VI

mercredi, 07 novembre 2018 14:23 Written by

Devant la situation de blocage qui plombe le Maghreb arabe, SM le Roi Mohammed VI a proposé, dans son discours à l'occasion du 43ème anniversaire de la Marche Verte, la création d’un mécanisme politique de dialogue et de concertation entre le Maroc et l'Algérie. Ce mécanisme opérationnel est de nature à permettre aux deux pays de mettre sur la table tous les différends conjoncturels qui entravent le développement des relations bilatérales. Le mode de fonctionnement de ce mécanisme proposé par le Souverain, le niveau de représentation de chaque pays, le format et la nature de cette structure sont des questions qui seront définies d’un commun accord, lorsque Alger aura donné son aval à cette proposition et l'aura éventuellement enrichie par de nouvelles idées et initiatives. Sa Majesté le Roi a assigné à ce mécanisme trois mandats clairs. D'abord, offrir le cadre idoine pour discuter de manière franche et responsable de toutes les questions de divergence entre les deux pays. En vertu de ce mandat, le mécanisme devra s’engager à examiner toutes les questions bilatérales, avec franchise, objectivité, sincérité et bonne foi, sans conditions ni exceptions, selon un agenda ouvert. Il doit être aussi le cadre de coopération qui permettrait d'identifier les projets communs et les moyens de les mettre à exécution. Ce mécanisme servira aussi de cadre de concertation sur les questions aussi bilatérales que multilatérales, à l'image de la lutte contre le terrorisme et la migration. La proposition royale est le prolongement d'une ambition proclamée il y a plus de 60 ans par la génération de la Libération et de l’Indépendance pour un Maghreb uni, à l'occasion de la Conférence de Tanger. Le Souverain a rappelé dans ce contexte les relations solides développées pendant la guerre des indépendances entre le Trône marocain et la Résistance algérienne, relation bâtie sur une conscience forte quant à la nécessité d'une action politique maghrébine commune. Au-delà de cet aspect historique évident et archi-connu dans les relations entre les deux pays, le Souverain a mis le doigt sur l'impératif pour Rabat et Alger d'agir main dans la main en vue de relever efficacement les défis régionaux et internationaux, particulièrement en termes de lutte anti-terroriste et de coordination face à la problématique migratoire. C’est avec "clarté et en toute responsabilité" que le Souverain déclare la disposition du Maroc à s'engager dans un dialogue direct et franc avec l’Algérie afin de mettre fin aux écueils qui freinent l'avancée des pays du Maghreb arabe vers des horizons plus prospères et moins conflictuels. L'initiative de SM le Roi en direction de l'Algérie est animée par l'estime et l’affection que portent tous les Marocains à ce pays et à son peuple. Elle est aussi mue par la volonté d'asseoir les relations bilatérales sur de solides bases de confiance, de solidarité et de bon voisinage. Le cap qui sous-tend l'initiative royale est le reflet de l'idée fédératrice d'un Maghreb arabe possible dont ont rêvé des générations entières de Maghrébins sous la colonisation et après l'indépendance. Cet appel de cœur, sincère et sans équivoque lancé en direction de l'Algérie fait écho à l'engagement royal volontariste à œuvrer de concert avec ce pays voisin pour l'épanouissement des peuples de la région. L'invite royale restera à l'évidence un acte historique, prononcé par un leader à l'écoute des peuples de la région dans leurs aspirations légitimes et des jeunes générations en particulier.
Moussa Kader
Légende photo : SM. Mohammed VI, Roi du Maroc
( Source : Maroc diplomatique avec la Map)

 

Forces armées de Côte d’Ivoire// 48 militaires radiés ces deux dernières années

lundi, 05 novembre 2018 21:33 Written by

Quelque 48 militaires ont été radiés ces deux dernières de l’armée ivoirienne pour indiscipline, a annoncé lundi, le ministre ivoirien de la défense, Hamed Bakayoko, face aux députés. Selon le ministre d’Etat, Hamed Bakayoko, qui défendait un projet de loi portant sanctions administratives applicables aux militaires, il s’agit de 15 militaires en 2017 et 33 en 2018.Exposant les motivations du gouvernement sur cette proposition de loi votée à l’unanimité par les députés membres de la commission défense et sécurité, M. Bakayoko a fait savoir qu’il est apparu « nécessaire de disposer d’un régime de sanction dérogatoire en plus dissuasif en vue de réinstaurer la discipline au sein des forces armées, d’extirper de leur rang les agents indélicats et de redorer l’image de l’armée » écornée par « les agissements répréhensibles».« L’objectif étant de préserver les acquis de l’économie nationale et in fine de permettre la mise en œuvre du programme économique et financier du président de la République », a ajouté l’émissaire du gouvernement. Répondant aux interrogations des parlementaires, quant à une éventuelle dette du gouvernement, aux militaires, Hamed Bakayoko a réfuté cette thèse.«Ce que l’Etat doit au militaire, c’est son salaire », a rétorqué Hamed Bakayoko qui a exhorté les hommes politiques « à ne pas attiser le feu au sein de l’armée ».Dans la nouvelle loi proposée, le chef l’Etat Major des armées, le Commandant supérieur de la gendarmerie peuvent prononcer la révocation de tout militaire en cas de flagrance dans la commission de faute contre l’honneur et la morale. « Tout militaire totalisant 15 jours de désertion ou 90 dix jours de prison sur deux années consécutives est radié des effectifs par décision du chef d’Eta-major des armées et le Commandant supérieur de la gendarmerie », peut-on lire dans le texte. L’armée ivoirienne a été secouée par plusieurs mutineries qui ont paralysé des villes du pays dont la dernière remonte au début de l’année 2017. Un programme de réforme de cette armée engagé par les autorités est en cours.

SY/ls

 

Loi de programmation militaire en Côte d’Ivoire :: L’éclairage du ministre d’Etat Hamed Bakayoko

vendredi, 02 novembre 2018 15:03 Written by

 La Côte d’Ivoire ambitionne de se doter d’une armée professionnelle. C’est le sens de la Loi de Programmation Militaire votée le 4 janvier 2016 par l’Assemblée Nationale. Dans cette interview accordée au Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG), le Ministre d’Etat, Ministre de la Défense, Hamed Bakayoko parle du processus de réformes et des défis auxquels l’Armée ivoirienne fait face. La Côte d’Ivoire s’est dotée d’une Loi de Programmation Militaire pour la période 2016-2020. Quels en sont les objectifs clés ? La Loi est née de la  vision du Président de la République, Alassane Ouattara, de doter la Côte d’Ivoire d’un outil de défense capable de faire face aux menaces internes et externes. Sa mise en œuvre permettra aussi à notre armée d’être outillée pour participer aux Opérations de Maintien de la Paix des Nations Unies dans le monde. Cette vision s’articule autour de l’amélioration des conditions de vie et de travail des soldats, la détermination des missions et des budgets sur cinq ans, la réorganisation du commandement, la consolidation du cadre institutionnel, la professionnalisation et la maîtrise des effectifs. Quels sont les défis majeurs auxquels l’Armée ivoirienne fait face aujourd’hui ? Les défis sont nombreux et seront  relevés progressivement. Nous pouvons citer, entre autres, la pyramide des grades et des âges. Actuellement, les effectifs par catégorie des Armées sont disproportionnés et incohérents par rapport aux missions principales qui leur sont confiées. La norme est de 5 % d’officiers, 25 % de sous-officiers et 70 % de militaires du rang. Mais, dans notre armée, ces ratios sont respectivement de 6 %, 53 % et 41 %. Par ailleurs, la moyenne d’âge par catégorie, à savoir 45 ans, est beaucoup trop élevée pour les militaires du rang et les sous-officiers. Ces réalités ont donné lieu au plan de départs volontaires, afin de réduire et rajeunir les effectifs. Un autre défi est celui de la formation pour mettre à niveau l’ensemble des soldats recrutés sans avoir reçu la formation de base. Il y a aussi les questions de l’amélioration des conditions de vie et de travail, de l’équipement des unités et de la cohésion pour bâtir une nouvelle armée républicaine. Quel bilan à mi-parcours de la mise en œuvre de la Loi ? Le bilan à mi-parcours est positif à bien des égards. Tout d’abord parce que cette Loi a engendré une nouvelle et unique chaîne de commandement. En outre, une ordonnance relative à l’exécution des sanctions disciplinaires, telles que les radiations, a été signée et mise à exécution. Ensuite, deux opérations de départs volontaires ont permis le retrait des effectifs de 3 157 soldats (991 en 2017 et 2 166 en 2018). Un Bureau d’Accompagnement et de Reconversion des Militaires a été créé pour aider les partants à mieux s’insérer dans leur nouvelle vie professionnelle et sociale. Il faut également noter la participation effective de l’Armée ivoirienne aux Opérations de Maintien de Paix des Nations Unies. Une compagnie de 150 hommes est en ce moment déployée au Mali. Enfin, la Loi a favorisé la réforme de l’enseignement militaire et la création de nouvelles institutions de formation. De manière générale, l’amélioration des conditions de travail et de vie des militaires est perceptible, à travers la réalisation d’infrastructures et l’acquisition de matériels et équipements. La réforme  suffira-t-elle à réhabiliter l'image de l’Armée aux yeux des populations ? Il s’agit d’un processus. Les actions sont menées aujourd’hui, mais l’impact ne sera visible que dans quelques années. Il faut un changement de comportement et de mentalités qui prendra forcément du temps. La réforme en cours permettra à l’Armée de renouer avec ses principes. Et cela lui fera bénéficier de crédibilité vis-à-vis de la population, à travers des actions telles que la protection et le secours. Lors des inondations de juin 2018, toute l’armée s’est mobilisée pour sécuriser les quartiers sinistrés et porter assistance aux familles. Elle a aidé à nettoyer les domiciles et les rues. Cela est déjà un très bon signa Moussa Kader  avec Cicg Légende photo : Amed Bakayoko, ministre d’Etat,ministre de la Défense ( Source : Cicgc)

Municipales et régionales : :Après la proclamation des résultats, Le Médiateur de la République invite les candidats non satisfaits à privilégier les voies légales de recours

vendredi, 19 octobre 2018 16:10 Written by

A la veille de la campagne pour les élections des Conseillers régionaux et municipaux qui se sont tenues, le 13 octobre dernier, je lançais, en ma qualité de Médiateur de la République, un appel à tous les acteurs de la vie politique ivoirienne, à œuvrer pour une campagne électorale apaisée et un scrutin sans violence. Si le scrutin s’est globalement déroulé dans un climat apaisé, force est de constater que pendant la campagne et après la proclamation des résultats par la Commission Electorale Indépendante, on a enregistré des actes d’intimidation, des violences verbales et physiques et autres manifestations de rues qui ont malheureusement occasionné des pertes en vie humaine et des blessés. Le Médiateur de la République déplore tous ces actes et dérapages qui mettent à mal la cohésion sociale, présente ses condoléances aux familles endeuillées et souhaite prompt rétablissement aux personnes blessées. Au regard de la situation socio-politique qui prévaut après la proclamation des résultats, le Médiateur de la République lance à nouveau un appel pressant à la retenue et à la responsabilité. Aux candidats et Partis politiques non satisfaits des résultats des élections : Le Médiateur de la République les invite à privilégier les voies légales de recours en saisissant la Chambre administrative de la Cour Suprême afin de préserver la paix et la cohésion sociale. Aux journalistes :Le Médiateur de la République les exhorte à faire preuve de responsabilité et de professionnalisme dans leurs comptes rendus afin d’éviter de publier des articles susceptibles d’inciter à la haine et à la violence.

Fait à Abidjan, le 17 octobre 2018
Adama TOUNGARA
Le Médiateur de la République

Après l’annulation des municipales à Port Bouet:: Siandou Fofana charge ses adversaires et la Cei locale

vendredi, 19 octobre 2018 13:24 Written by

Siandou Fofana, membre du gouvernement ivoirien et candidat à la mairie  de port -bouet était  face à la presse le jeudi 18 octobre 2018. Compte tenu  de l'obligation  de réserve,  il  s’est abstenu  de  dire un mot sur le résultat du vote pendant et après le scrutin du samedi 13 octobre avant la proclamation par la Commission nationale indépendante (Cei). Il est sorti de sa réserve le jeudi 18 octobre à son QG de Port-Bouët en martelant sa part de vérité. Et cela, trois jours après que la CEei l’organe chargé des élections en Côte d’Ivoire, ait annulé le vote de Port-Bouët-Commune. Elle a évoqué comme raison principale, le fait que les urnes aient été détruites après la fermeture des bureaux de vote au siège de la branche locale dénommée Cei1. Tout en se félicitant de cette décision, le candidat du RHDP n’est pas allé par quatre chemins pour fustiger l’attitude de certains agents de la CEI1 comme sa présidente Mme Kouhouho et l’agitation précipitée de son principal adversaire, Sylvestre Emmou. « Nous régissons suite aux propos mensongers du candidat Emmou Sylvestre, tenus lors de son point de presse devant les locaux de la CEI, après avoir convoyé lui-même en tant que candidat les différents PV des bureaux de vote et les matériels électoraux ayant servis à l’organisation des élections municipales du 13 octobre 2018. Une première dans l’histoire de notre pays, la Côte d’Ivoire. Nous voulons éclairer la population de Port-Bouët et au-delà les Ivoiriens sur certains faits. Nous voulons mettre en évidence les irrégularités constatées comme la non-ouverture de certains bureau de vote, l’ouverture tardive d’autres, disparitions des urnes dès la fin du scrutin, irrégularités constatées dans les fiches de pointage à la Commission électorale locale 2, la non compilation des résultats à la commission locale 1…», a-t-il révélé. Avant d’ajouter : « M. Emmou affirme que mon huissier et moi-même avons suivi le cortège convoyant les urnes à la commission électorale centrale. Ce qui est faux. Je ne sais pas que les PV et les urnes étaient convoyés à la CEI centrale. J’étais en conseil de gouvernement le mardi 16 octobre. Il dit que c’est 19 bureaux de vote qui n’ont pas été ouverts. Ce qui est encore faux. Ce sont 23 bureaux de vote qui n’ont pas été ouverts par la faute de Mme Hortense Koudouho, présidente de la CEI locale 1 en complicité avec le candidat Emmou. C’est cela la vraie mascarade. Et non moi qui ai été spolié de mes droits et la population ». M. le Ministre-candidat a fait savoir  que les estimations donnent au moins 36.000 électeurs qui n’ont pas pu effectuer leur devoir civique. Il a par ailleurs noté que c’est de commun accord avec tous les candidats que la Commission nationale électorale centrale a proposé la reprise du scrutin à Port-Bouët dans un délai qu’elle va fixer ultérieurement. Une décision que la liste RHDP a saluée en tant que bon démocrate. Il ne comprend donc pas pourquoi son principal adversaire se promène partout pour dire qu’il a remporté les élections alors qu’il sait bien qu’il y a eu des bureaux et villages entiers où le vote n’a pas eu lieu. « Ce n’est pas avec le mensonge et le vol que M. Emmou va diriger la population de Port-Bouët. Notre commune a besoin d’un maire honnête et sérieux », a mentionné Siandou Fofana. Le candidat du Rhdp a également fait savoir que le clan adverse se fait passer la victime alors qu’ils sont les auteurs de la mascarade. « Toutes les preuves sont là. Certains parmi eux seront poursuivis à commencer par Mme Hortense Koudouho, présidente de CEI1 de Port-Bouët », a-t-il précisé. En dehors de la CEI1, le Ministre du Tourisme et des Loisirs a ressorti qu’il y a eu aussi de nombreuses irrégularités découvertes à la compilation à  la CEI2. Comme le remplissage des PV par la même personne, des présidentes de bureaux de vote avec deux signature sur les PV, des représentants des candidats qui n’ont pas émargé, des pointages non conformes, des fiches de pointage non remplies… « Port-Bouët a le droit d’exercer son droit de vote come toutes les communes de Côte d’Ivoire. La population de la commune de Port-Bouët doit librement exprimer son choix. Pourquoi, l’en empêcher ? Le Pdci est un parti honnête qui n’a jamais enseigné le banditisme et le braquage électoral. De nouveaux entrants au sein de mon parti veulent faire prospérer de telles pratiques. Il faut les stopper. Le Pdci doit extirper ces mauvais grains de nos rangs. C’est contre tout cela que nous allons lutter quand nous serons maire à Port-Bouët », a-t-il signifié.  

Moussa Kader Légende photo :  Siandou Fofana candidat du Rhdp à Port Bouet

Municipales 2018 à Sangouiné/Après la débâcle du candidat Rhdp Ses partisans saccagent les locaux de la sous –préfecture

lundi, 15 octobre 2018 22:49 Written by

Les urnes ont parlé ont à Sangouiné, petite commune située dans le département de Man. Le candidat du Rhdp , Blon Rock a mordu la poussière devant deux indépendants dont un pro-Udpci qui est arrivé en deuxième position et l’indépendant Remy Dion a terminé en tête avec 2025voix contre 1484 voix pour le Rhdp. Remi Dion a même été proclamé par la Cei nationale. Non contents de leur débâcle, les partisans de la tête de liste Rhdp sont allés tout saccager dans les locaux de la Sous- préfecture où étaient stocké le matériel de la Cei locale. Pi, « les manifestants s’en sont pris aux matériels et aux équipements de l’administration. Sans oublier le bureau du sous -préfet. Bamba Lassina, le président de la Cei locale activement recherché par les manifestants a pris la poudre d’escampette et sa famille est menacée. Aussi les partisans   du candidat du Rhdp  lui demande de  se rendre et venir consigner dans un Pv qu'il a fauté.Ceci pour obtenir l'annulation du scrutin...» nous rapporte une source locale.
Moussa Kader

Municipales 2018 à cocody. // Jean Yacé a voté à l’Ecole de gendarmerie d’Abidjan

samedi, 13 octobre 2018 16:34 Written by

Jean Marc Yacé, le candidat  du Pdci Rda  a voté au Bv 07 du centre  de votes de l’Ecole de Gendarmerie  d’Abidjan. Où le candidat  du Pdci est arrivé aux environs de 9h 30mn en compagnie de son épouse.   Habillés en   blanc  , symbole  de paix  et de pureté,  après avoir  accompli son devoir civique, M. Yacé  n’ a pas caché  sa joie  d’avoir voté . Tout en invitant  ceux qui étaient encore chez, eux de sortir pour aller  aux urnes.   Aussi,  M. Yacé   a dit croire en la fiabilité  du marqueur dit «  indélébile » qui remplace l’encreur  au cours  de  ces élections locales.  A noter   que  c’est aux environs de  08heures 40mn que les opérations  de votes ont commencé. Retard dû  en partie  à  l’arrivée tardive des isoloirs et  des listings.  A noter qu’au centre  de votes de l’Ecole de gendarmerie d’Abidjan,  les agents de la Commission électorale indépendantes(Cei), nous ont rapporté que les fameux tablettes  estampillées Safram se plantaient. Aussi, ils avaient des  difficultés avec les chargeurs  défectueux.  Moussa Kader

Immigration et asile: Le Hcr salue la politique mise en œuvre par le Maroc

vendredi, 05 octobre 2018 18:41 Written by

Filippo Grandi, le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, a salué la politique d’immigration et d’asile adoptée par le Maroc, qui “donne l’exemple en la matière”, a souligné le responsable du (Hcr) à l’occasion de la réunion de la 69ème session du Comité exécutif de l’organisation onusienne, mardi à Genève.  Selon le site  d’informations en ligne, www.labass.net  qui rapporte l’information, « L’initiative du Maroc d’adopter la loi sur le droit d’asile, dont la procédure est en cours, a également été mise en relief par Filippo Grandi, qui s’est félicité de l’excellente coopération entre le Hcr et le Royaume »  Au cours de cette session du Hcr,  l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Omar Zniber, a souligné que la politique marocaine d’immigration et d’asile, initiée par le Roi Mohammed VI et saluée par la communauté internationale, est basée sur une approche humaniste et intégrée. Une politique qui permet de préserver la dignité et garantir les droits des réfugiés et des migrants sur son sol, conformément aux fondamentaux constitutionnels du Royaume et aux conventions internationales en la matière. Tout en rappelant que le processus d’adoption de la loi sur l’asile est en cours et que la loi sur la traite des êtres humains a été adoptée dans le cadre de la Stratégie nationale d’immigration et d’asile, Omar Zniber a relevé que le Maroc avait initié une politique globale d’intégration socio-économique en faveur des personnes ayant bénéficié jusqu’à présent des opérations de régularisation. Le Maroc réitère la nécessité de placer la protection des réfugiés au centre de l’action humanitaire et rappelle l’importance de la reddition des comptes pour s’assurer que l’aide bénéficie effectivement à ses destinataires, a affirmé le diplomate marocain. Concernant la situation dans les camps de Tindouf, contrôlés par le front séparatiste du polisario en territoire algérien, Omar Zniber a indiqué que le pays hôte, par son refus d’autoriser l’enregistrement de la population de ces camps, s’oppose à toute solution durable et continue de conditionner cet enregistrement au règlement politique global du différend régional sur le Sahara marocain. « Or cette conditionnalité constitue une violation des règles statutaires et juridiques du Hcr et présente un défi au consensus international sur la nécessité de distinguer les dimensions politique et humanitaire », a insisté Omar Zniber. A cet égard, le Royaume lance un appel au HCR pour procéder à l’enregistrement de la population dans les camps de Tindouf selon les standards internationaux et conformément à son mandat de protection, au droit international des réfugiés et aux résolutions du conseil de sécurité, dont la résolution 2414 qui demande « à nouveau que l’enregistrement des réfugiés dans les camps de Tindouf soit envisagé et soulignant qu’il convient de déployer des efforts à ce sujet », a souligné le diplomate marocain  B. MafoumgbéSource :  www.labass.net    

Elections municipale 2018 à Dabakala:: l'indépendant Touré souleymane met le Rhdp en difficulté

vendredi, 05 octobre 2018 15:06 Written by

A l'instar des localités visitées depuis bientôt deux mois, l'équipe "Agir ensemble pour l’avenir de Dabakala ", est sur le terrain depuis le lundi 17 Septembre 2018. L’équipe de campagne de cette liste ne manque pas l’occasion pour faire le corps à sur le terrain. Mettant quasiment en difficulté la liste Rhdp. Touchées par la démarche participative de l'équipe dirigée pour le conseiller Soumaïla Toure, les populations manifestent leur espoir de voir un changement profond dans la gestion de la commune qui, selon eux, se fait sans eux à Sozoribougou par exemple. En réponse l'équipe de Soumaila Touré promet   d'Agir dans le sens du développement pour donner bientôt à Sozoribougou ainsi qu'à toute la commune, un autre visage. Ce à travers des actions concrètes.

K. M à Dabakala

sys bannière